Pendant ce temps, dans un univers parallèle…
Vlad : Bon alors pour commencer, les attaques sur les centrales nucléaires, c’est pas moi, ce sont les ukrainiens. Pour la question des civils, ils peuvent évacuer sans problème pendant qu’on les bombarde. Je n’attaque pas l’Ukraine, je suis en train de la libérer des nazis drogués. Je suis tout à fait prêt à négocier avec son président parce que je suis ouvert au dialogue, tant que tout le monde ferme sa gueule et fait exactement ce que je dis. D’ailleurs si l’Ukraine s’était rendue tout de suite, je n’aurais pas eu besoin de l’envahir. Je veux dire la libérer des nazis drogués. J’ai fait un lapsus. Il ne faut pas interpréter ce que je dis parce que je pèse toujours mes mots : quand je dis que mes forces de dissuasion sont en régime spécial d’alerte, ça veut pas dire que je vais utiliser l’arme atomique. Quand je dis que je ne considère pas des sanctions comme une déclaration de guerre, mais que c’est quand même un peu limite, ça veut dire que je considère que vous ne m’avez pas encore déclaré la guerre. Même si c’est quand même un peu limite. Par contre, si vous ne me laissez pas l’espace aérien au-dessus de l’Ukraine, je vais prendre ça comme une déclaration de guerre. Vu que la seule solution, ce serait de tirer sur mes avions. Voilà.
Manu : …
Vlad : Voilà voilà.
Manu : Bon ben… je raccroche alors ?
Vlad : Tu peux raccrocher.
Fin des négociations pour le moment. La suite dans pas trop longtemps.