Ce qui est fabuleux, dans cet épisode 5, c’est qu’on a l’impression que le MCU pourrait être intégré au Marvel Universe normal, tellement les Loki alternatifs sont ressemblants. Bon, dans cet épisode, on fait encore trainer un peu l’histoire, à la manière des vieux comics de Conan. Loki et Sylvie confrontent donc ce qu’on appelait le monstre-du-mois du temps des vieux Conan, pour enfin ouvrir le portail dimensionnel menant vers les vrais seigneurs du temps (ou le vrai, s’il n’y en a qu’un. J’espère que ce ne sera pas un autre variant Loki…). Et comme tout dans cet épisode reste conventionnel (entendez par là que c’est super bien écrit, mais qu’il ne s’y passe pas grand chose d’inattendu), la fin est tout aussi conventionnelle : au moment où Loki et Sylvie dévoilent le domaine des seigneurs du temps, ben c’est à suivre. Et cette fois, on n’a même pas de scène post-générique, parce qu’avec ces scènes, il n’y a pas de règle. Concernant les clins d’œil, j’ai bien rigolé en voyant le Frog Thor et la Philadelphia Experiment, mais j’ai loupé l’hélicoptère de Thanos. Il a fallu que je lise un article pour savoir qu’il était quelque part dans le décor. Bref, j’attends la suite avec impatience.
Du côté de mes productions, ben j’attends la suite avec impatience aussi. Les pages en noir et blanc de Rage 6 sont enfin finies, j’ai presque terminé le scénario de Rage 7. Je bosse aussi sur les bulles de Worlds of Rage 8, qui est complètement terminé (donc cette fois, c’est moi qui suis en retard…) et quand j’ai cinq minutes, je bosse sur les rééditions des anciens numéros.
Oh, et tous les matins, j’ajoute un bouton de bibliothèque publique sur la page de Rage Director’s Cut. Je prévois d’ailleurs de vous préparer toute un article sur ces versions numériques de vos bibliothèques publiques, dont les médias ne vous parleront probablement jamais pour sauver les libraires.
Allez, on se quitte avec une galerie DC, pour changer !